Le lien de cause a effet motif d'une polémique stérile
Malgré un rapport accablant écarté lors du procès du 19 Avril 2006, malgré l'évaluation de l'Agence Internationale pour la Recherche sur le Cancer (INCHEM) de l'OMS, et en dépit de la reconnaissance de son établissement par le tribunal correctionnel de Nice, le lien entre l'absorption des gélules contenant les plantes et ses effets néfastes est toujours nié par Mr Rombi et Arkopharma. Cela constitue même un nouveau champ de bataille sur lequel des experts s'affrontent autour d'une réalité incontournable: des femmes ont absorbées les gélules asiatitrat commercialisées par la société Arkopharma de Mr Rombi et ont perdu leurs reins voire leurs vies.
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